Empiler les équations dans JWildfire, trifouiller les paramètres, jouer avec les gradients de couleurs c’est bien mais vient le jour où, particulièrement satisfait d’une de vos réalisations, vous éprouverez l’envie d’imprimer votre oeuvre, comme celles présentées dans la Boutique. Et c’est là qu’intervient la notion de « résolution ». A quelle taille et à quel niveau de qualité de rendu faut-il souscrire pour espérer imprimer ? Car, en effet, habitués que nous sommes aux écrans d’ordinateurs de bureau, d’ordinateurs portables, de tablettes, de « maxiphones » ou de « microphones » (par ordre de taille d’écran et à mon sens de régression…), c’est à dire d’affichages RVB (rouge vert bleu) en 72 dpi (72 pixels par pouce – le double avec la technologie Retina), nous avons du mal à comprendre qu’il faille une définition supérieure pour imprimer sur du papier. Oui : Fait chier Gutemberg !

Combien de fois ais-je du expliquer patiemment à des clients qu’il faut pour cela des fichiers « haute définition » en 300 dpi et en quadrichromie tramée CMJN (Cyan, Magenta, Jaune, Noir). Autre monde que celui de l’impression, en voie de disparition, il faut bien le dire.

La suite sur : www.blog.francis-leguen.com

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